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PUBLIREPORTAGE : Comment savourer Tokyo
Chaque région du Japon a sa propre spécialité culinaire, et lorsque les gens reviennent de voyage, leurs amis ne demandent pas ce qu'ils y ont vu, mais ce qu'ils y ont mangé.
Tokyo est si vaste que beaucoup de ses quartiers ont leurs propres spécialités. Et si la ville est connue pour ses innombrables restaurants étoilés au Michelin, le touriste moyen ne va pas s'asseoir pour des banquets kaiseki de plusieurs plats servis dans des lieux huppés comme Azabu-Juban ou cachés dans les élégantes ruelles de Kagurazaka.
Il y a toujours quelque chose de nouveau à essayer à Tokyo, et alors que le monde émerge de sa bulle du coronavirus, il est temps de jeter un nouveau regard sur ce que cette ville en constante évolution a à offrir.
Pour goûter à l’un des plats signature moins connus de Tokyo, aventurez-vous au nord-est de Tokyo Station vers Nihonbashi. Autrefois point de départ des cinq grandes routes qui traversent le Japon, ce quartier raffiné compte encore des rues bordées de lanternes et des grands magasins proposant de l'artisanat traditionnel. Et même si les visiteurs du quartier peuvent choisir de déguster des sushis en regardant du théâtre noh, ils feraient encore mieux de s'arrêter pour déguster la spécialité plus traditionnelle de ce quartier bordé par un canal : l'anguille grillée, ou unagi, servie sur du riz.
Tsukishima abrite le plat le plus typique de Tokyo : le monjayaki, qui est préparé sur une plaque chauffante à partir d'un mélange de pâte, de chou et d'autres ingrédients comme le porc et les fruits de mer. La pâte est chauffée au centre d'un anneau composé des ingrédients les plus solides avant que le tout ne soit mélangé en une masse liquide qui se solidifie sur votre spatule - ou hera - au fur et à mesure que vous prenez chaque bouchée.
La rue Monja dans Tsukishima abrite plus de 100 restaurants monjayaki. Pour profiter au maximum de ce plat qui ressemble à une fondue, n'oubliez pas de le commander avec du fromage et du mochi (gâteau de riz moelleux), qui valent bien le coût supplémentaire.
Cependant, toute la gastronomie de Tokyo n'est pas japonaise : le pays entretient aussi une histoire d'amour avec le curry. Pour avoir un large aperçu des saveurs locales, rendez-vous au festival du curry de Shimokitazawa dans la première moitié du mois d'octobre. Plus de 100 restaurants y proposent leurs mets dans les rues désordonnées de ce quartier typiquement bohème.
* Mesures de prévention à Tokyo et mises à jour sur la COVID-19